Interview de Lara Magnan
30 mars 2015
Bonjour Lara,
Tout d'abord, peux-tu te présenter, qui es-tu, que fais-tu ?
Bonjour à tous,
Lara, 35 ans, parisienne, je fais de la retouche photo depuis quasiment 10 ans.
Parle-nous un peu de ton métier.
Comme certains le savent, toutes les photos qui nous entourent dans la presse, les publicités ou le web passent entre les mains de retoucheurs comme moi. Le but étant, comme on dit pompeusement, de les sublimer, c’est à dire, d’en supprimer les défauts, harmoniser les couleurs…en bref, il faut que ce soit beau et surtout vendeur.
Je travaille essentiellement sur photoshop, en compagnie de photographes ou de directeurs artistiques et ensemble, nous mettons tout en œuvre pour obtenir un résultat satisfaisant.
Quel est ton parcours ?
Eh bien pour ma part, j’ai commencé par faire la fac en Arts Plastiques sans avoir d’idée précise de mon avenir. Mais j’avais l’envie de m’orienter vers les métiers de l’image.
J’ai ensuite cherché à me spécialiser en faisant une formation en infographie aux Gobelins où j’ai appris les bases de la chaine graphique et ses outils (Photoshop, Illustrator, Indesign, utilisation de scanner, réaliser des cromalins…)
Après mes études j’ai été embauché dans une agence de communication où, là encore, je cherchais ma voie. C’est au studio de photo Pin up que je l’ai finalement trouvée. J’ai débuté en scannant les négatifs qui servaient ensuite au travail des retoucheurs. Je me suis donc spécialisée directement auprès de professionnels.
Depuis quand travailles-tu en tant qu’indépendant ?
Je suis à mon compte depuis 2 ans maintenant. En fait, un peu par hasard, après mon expérience de salariée, j'ai voulu tenter autre chose. Et franchement, je ne regrette pas.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans le fait d’être à ton compte ? Et au contraire, quels sont les points qui te posent problème ?
L’autonomie, la diversité des jobs et la liberté sont vraiment appréciables.
Ça vaut le coup, même si ça peut être un peu effrayant de ne pas travailler régulièrement. Pour, l’instant je touche du bois, ça marche très bien, la retouche parait être un domaine privilégié qui ne connait pas la crise.
Néanmoins, il y a aussi des contraintes, il faut être organisé, gérer son temps et sa comptabilité sinon on s’embrouille vite. Heureusement que des professionnels (comptable, et des asso comme Freelancer) sont là pour nous guider.
Quel est ton environnement de travail ? Maison, espace de co-working, lit… et quel est ton type de client, de projets ?
Je travaille principalement dans les locaux des clients, parfois à domicile, mais rarement. Il y a de nombreuses boites de retouche qui emploient des freelances. Du coup, je suis amenée à travailler avec plusieurs retoucheurs qui peuvent avoir des profils très différents. Cela permet d’échanger ses connaissances et c’est très enrichissant, ça devient un vrai travail d’équipe. Sinon je travaille aussi directement avec des photographes ou des agences de pub. J’aime cette diversité, on est toujours amené à apprendre, à évoluer et on ne se laisse pas aller à la routine.
Les projets… Ouvrez un magazine, levez le nez dans le métro ou dans la rue. La mode, les parfums, les cosmétiques ou toutes les pub pour vos produits de consommation, voilà sur quoi je bosse au quotidien. Certains projets sont très classiques, d’autres plus créatifs utilisant des photo-montages ou de la 3D. C’est évidemment dans ces derniers que je m’amuse le plus car il y a du challenge.
Quel serait ton projet idéal ?
Bonne question! Si on pouvait choisir, ce serait génial.
Les bons ingrédients pour faire le projet idéal seraient: des bonnes idées, des beaux visuels, une équipe et du matériel de qualité et une bonne ambiance; ça c’est important pour mener le projet au bout. Voilà un projet parfait, rien que d’y penser ça me donne envie de reprendre mes projets perso…
As-tu des projets personnels ?
Oui, mais beaucoup dans la tête, quelques uns en cours depuis trop longtemps. C’est dur de trouver du temps. Comme on m’a déjà conseillé, il faut bosser le perso comme si c’était du pro, avec des délais sinon ça n’avance pas. Théorie confirmée :(
Allez, résolution 2015, c’est parti!
Où te vois-tu dans un an ?
Je suis sur ma lancée, je vais poursuivre comme ça pour l’instant ça me convient. Partir à l’étranger me tente mais pour plus tard.
Quels sont les domaines dans lesquels tu voudrais progresser ?
Je suis particulièrement intéressée par l’utilisation de la 3D qui permet toutes les folies. J’ai eu l’occasion de faire une petite formation et c’est vrai que je me vois bien m’impliquer plus dans cette branche.
Comment as-tu découvert Freelancer ?
Je débutais, je n’y connaissais pas grand chose et je voulais faire professionnelle et c’est vrai que des factures sur Word, ça fait pas pro. Du coup, j’ai cherché sur le net et j’ai testé.
Comment gérais-tu ton activité avant d’utiliser Freelancer ?
En utilisant Word mais c’était avant de me lancer en indépendante, lorsque j’avais juste des petits boulots en parallèle de mon activité de salariée.
Quels sont pour toi les points forts de l’outil ?
C’est simple à utiliser, il y a toutes les infos qui correspondent à ton profil, ça véhicule une image de professionnel et ça aide vraiment pour s’organiser et comprendre certaines subtilités.
Pour tes besoins, quels seraient les points à améliorer ?
Je n'ai pas d'autres besoins pour le moment, mais peut-être qu’il serait pratique de pouvoir utiliser Freelancer pour gérer entièrement sa comptabilité…
Lara Magnan
Interview de Jonathan Path
20 janvier 2015
Tout d'abord, peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Jonathan, je suis marié et père d’une magnifique petite fille. Je fais beaucoup de choses, mais commençons par dire que je suis un designer et intégrateur passionné !
Quel est ton parcours ?
J’ai commencé en tant que “webmaster” dans une association. Puis j’ai travaillé dans de super startups (Multiposting & Work4Labs) où j’ai vu une croissance incroyable. J’ai commencé en apprentissage, et j’ai fini responsable de 4 designers et intégrateurs.
Mon patron voulait me garder, mais j’avais envie de liberté. Cela fait maintenant 3 ans que je suis freelance, un des meilleurs choix que j’ai faits de ma vie !
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans le fait d’être à ton compte ?
Travailler avec qui je veux et où je veux, rencontrer beaucoup de gens passionnés, pouvoir facilement libérer du temps pour travailler sur mes projets personnels, gagner plus.
Il y aurait encore beaucoup à dire, j’ai même écrit un article à ce sujet !
Quel est ton environnement de travail ?
Je fais principalement du coworking, j’y vois énormément d’avantages. Certains coworkers sont devenus des clients et d’autres des partenaires. J’ai plus de crédibilité quand je fais un rendez-vous dans une salle de réunion professionnelle. Et je me suis aussi fait de super amis !
Quel est ton type de client, de projets ?
Je travaille uniquement avec des startups.
Tout simplement parce que trouve cela passionnant et je préfère travailler avec des équipes à taille humaine. Mon profil est aussi plus adapté aux startups : j’ai beaucoup d’expérience dans l’applicatif et j’ai des compétences en marketing.
Parle-nous un peu de FreelanceBoost ?
FreelanceBoost a une mission : permettre aux freelances de mieux se vendre, afin de gagner à leur juste valeur et à travailler moins.
Quand je me suis lancé en freelance, j’ai eu du mal à trouver des informations qui aller m’aider dans mon aventure. J’ai envie aujourd’hui que ceux qui veulent se lancer ou se développer puissent avoir du succès !
Comment as-tu découvert Freelancer ?
J’ai découvert Freelancer en rencontrant Fabrice Delaneau (le fondateur de Freelancer) lorsque je donnais des cours dans une école à Paris.
Comment gérais-tu ton activité avant d’utiliser Freelancer ?
C’était la catastrophe (rires) ! Je faisais mes devis et mes factures avec Google Docs. Parfois, je me trompais dans la date, et surtout je perdais beaucoup de temps.
Mais ça, c’était avant.
Quels sont pour toi les points forts de l’outil ?
J’apprécie beaucoup le fait que l’application est toujours à jour avec les textes de loi qui changent régulièrement.
La relance automatique des factures impayées est un gros plus : ça arrive tellement souvent !
Interview d’Anne-Charlotte Laurans, illustratrice
15 octobre 2014
Bonjour Anne-Charlotte,
Tout d’abord, peux-tu te présenter, qui es-tu, que fais-tu ?
Je m’appelle Anne-Charlotte Laurans, je suis illustratrice sous le pseudonyme Broll & Prascida.
Parle-nous un peu de ton métier.
Je fais des illustrations pour différents supports/clients : publicité, édition, presse, textile, affiches…
J’aime créer des univers, des atmosphères, jouer avec des volumes, des textures, dessiner dans le détail à l’aide de milliers de petits points, à la main. Je développe un univers onirique. J’imagine des métamorphoses afin de créer des questionnements, des jeux et des clins d’oeil visuels. J’aime l’idée que chaque élément organique (animal ou végétal) disparaisse et donne naissance à une nouvelle chose, c’est une notion récurrente dans mon travail.
Quel est ton parcours ?
J’ai grandi au bord de la mer, en Bretagne. Puis, après le bac, j’ai intégré l’ENSAAMA Olivier de Serres (MANAA puis BTS Communication Visuelle). J’ai ensuite fait un court passage en DSAA ATC à Estienne, mais je ne m’y suis pas plu, du coup j’ai arrêté l’école et commencé à travailler. Pendant mon BTS, j’avais découvert la création en agence de publicité lors de deux stages chez TBWA/Paris, j’avais adoré ces deux expériences. Je me suis donc naturellement dirigée vers la publicité en sortant de l’école, d’abord comme assistante DA chez BETC puis comme DA chez Young & Rubicam au pôle Edition.
Comment en es-tu venu à te spécialiser dans ton domaine actuel ?
Cela faisait 3 ans que je travaillais dans la pub, et sans vraiment savoir pourquoi, je sentais que je n’étais pas à la bonne place. Ça a été une super expérience et j’ai adoré faire ce métier, mais il me manquait le dessin.
J’ai commencé à dessiner avec un feutre super fin (un genre de Rotring), j’ai senti que je tenais quelque chose qui me ressemblait et j’ai tiré le fil. Quelques mois plus tard, j’ai quitté l’agence Y&R pour faire de l’illustration à plein temps.
J’ai rencontré mon agent Karine Garnier, puis j’ai commencé à travailler pour différents clients. En parallèle je continue d’enrichir mon univers en travaillant sur des projets personnels.
Mon expérience dans la publicité m’a permis d’intégrer le process de travail. Je sais comment ça se passe, je connais les relations entre clients, agences et illustrateurs : ça permet de mieux appréhender les projets.
Depuis quand travailles-tu en tant qu’indépendant ?
Depuis 4 ans.
Qu’est-ce qui t’a poussé à te mettre à ton compte ?
Le métier d’illustrateur, qui ne se pratique qu’en tant qu’indépendant.
Qu’est-ce qui te plaît le plus dans le fait d’être à ton compte ?
Être indépendante ! Avoir le choix d’accepter ou refuser des projets : c’est une vraie liberté ; peut-être pas dès le début, mais tout de même assez rapidement.
Voir que l’investissement en temps et en énergie mis dans les projets porte ses fruits et que je suis la première à bénéficier des retombées : évolution de mon écriture, nouveaux clients.
J’aime bien ne pas avoir les mêmes horaires que tout le monde : aller faire des expos dans la journée, travailler le soir/la nuit... mais parfois ça peut devenir une contrainte !
Et au contraire, quels sont les points qui te posent problème ?
Négocier mes tarifs et les délais. Pour ça je fais plutôt appel à mon agent qui gère ça bien mieux que moi !
Gérer mon temps : je me laisse souvent envahir, j’ai du mal à ne pas travailler le week-end et en vacances, or parfois c’est nécessaire de vraiment faire une coupure. J’y travaille !
Quel est ton environnement de travail ? Maison, espace de co-working, lit…
J’ai commencé par travailler de chez moi lorsque je me suis lancée, puis j’en ai eu marre alors je me suis installée dans un grand open space avec une douzaine de personnes : sound designer, motion designer, web designers, graphistes, développeurs, illustrateurs 3D, et photographes. Après avoir travaillé de chez moi pendant 2 ans, c’était super de partager un espace créatif, ça a crée des échanges, des rencontres, des opportunités de collaborations.
Mais finalement je suis retournée travailler chez moi, car c’était plus facile à gérer avec mes horaires difficilement compatibles avec le métro parisien. Je m’y sens plus libre.
Quel est ton type de client, de projets ?
C’est vraiment très variable, c’est ça qui est super dans ce métier. Plus les clients sont différents et les projets variés, plus je m’éclate et je ne tombe pas dans la monotonie.
Quel serait ton projet idéal ?
Un projet où l’illustration prendrait place et serait pensée sur tous les supports : en publicité, en habillage vitrine, en packaging, en vidéo, en édition, en web, et en textile… un projet 360° ! Ce serait top.
As-tu des projets personnels ?
Oui, en permanence. Ils avancent plus ou moins vite en fonction des commandes que j’ai en même temps.
Où te vois-tu dans un an ?
À peu près au même endroit, avec de nouveaux clients, de nouveaux projets, de nouvelles envies.
Peut-être que je serai dans un nouvel espace, dans lequel je puisse me rendre à pied, pour pouvoir y aller soit une heure, soit bien plus en fonction de mes besoins, sans perdre trop de temps. Peut-être que je serai en train de préparer une exposition…
Quels sont les domaines dans lesquels tu voudrais progresser ?
J’ai envie d’ouvrir mon travail à de nouveaux supports, notamment à la vidéo.
On me demande de plus en plus souvent d’intervenir en couleur, je dois donc continuer à travailler et développer mon univers graphique dans ce sens.
Et il faut aussi que je gagne en rapidité, en souplesse, car ma technique est laborieuse il faudrait que je trouve des solutions pour travailler mieux et de manière plus rapide.
Comment as-tu découvert Freelancer ?
C’est une amie illustratrice 3D qui m’en a parlé. J’ai tout de suite apprécié l’interface et le contenu, mais j’ai bien mis 6 mois avant de m’y mettre vraiment et de basculer toute ma comptabilité dessus.
Comment gérais-tu ton activité avant d’utiliser Freelancer ?
Je galérais un peu… J’avais une structure de devis/factures sur InDesign dont je modifiais les contenus et montants pour chaque client. Résultat : je faisais régulièrement des erreurs, j’oubliais de modifier un numéro de devis, une date.
Et je me mélangeais les pinceaux dans la numérotation des devis et des factures.
J’utilisais une feuille de calcul Excel pour avoir une vue d’ensemble sur mes clients - projets - honoraires - cotisations.
Quels sont pour toi les points forts de l’outil ?
- L’interface, vraiment efficace et intuitive.
- La simplicité d’utilisation, la précision, et l’étendue des possibilités du logiciel. C’est très complet.
- Les contenus de la rubrique «Aide», bien plus clairs et précis que ce qu’on peut trouver sur le site de la MDA et sur internet en général.
- Le tarif de l’abonnement, très bon rapport qualité/prix.
Très honnêtement, Freelancer m’a simplifié la vie !
Pour tes besoins, quels seraient les points à améliorer ?
J’en avais parlé lors du petit-déjeuner Freelancer :
- Pouvoir personnaliser un peu plus les factures : choix de typo, de taille de corps de texte, de séparateurs.
- Pouvoir comptabiliser le temps passé sur un projet.
- Une version de l’appli disponible sur téléphone.
Petit déjeuner Freelancer… débrief
2 octobre 2014
Voici deux semaines depuis le premier petit déjeuner Freelancer, il est temps de faire un débrief pour ceux qui n’ont pas pu y assister et ceux qui ont dû s’éclipser avant la fin.
Nous avons été au total près d’une quarantaine à nous retrouver à l’Anti-Café. Nous n’en espérions pas tant, merci.
L’emploi du temps était chargé, nous avons tout d’abord présenté la petite équipe de Freelancer et évoqué l’actualité ainsi que le futur du service.
Notre partenaire Éric Hainaut, du cabinet d’experts-comptables COM’COM, a fait ensuite une courte intervention sur les évolutions du régime des micro-entreprises. Ces changements poseront problème, car le régime spécial des artistes-auteurs n’a absolument pas été pris en compte.
Pour Freelancer les choses avancent, nous avons annoncé la disponibilité d’une API au mois d’août. Différents services ont commencé à l’explorer.
Nous travaillons entre autres avec Hopwork afin d’intégrer de façon transparente la création des devis et factures depuis Freelancer pour les missions qu’ils proposent.
Nous réfléchissons également avec Hopwork à la possibilité de vous proposer des missions lorsque Freelancer constate une baisse dans votre activité ou une trop grande dépendance à un client.
Pour la suite, nous avons évoqué l’évolution de l’interface sur laquelle je travaille depuis quelque temps.
La nouvelle interface ne bouleverse pas tout, mais elle intègre près de 5 années de retours de nos utilisateurs. Ce sont ainsi des centaines d’améliorations diverses qui devraient rentre plus agréable l’utilisation du service.
Nous n’avons clairement pas eu le temps de rentrer dans les détails, mais nous avons présenté quelques points cruciaux pour de nombreux utilisateurs.
Le nouveau tableau de bord qui permet d’un clic de filtrer les projets par client.
La page du projet qui, tout comme le tableau de bord, ne présente par défaut que les documents actifs.
Enfin la page des documents présente un nouveau bandeau d’en tête qui permet instantanément de savoir l’état du document.
Le travail sur cette interface est encore en cours et ne pourra pas être intégré immédiatement, mais nous allons vous donner accès aux différentes pages au fur et à mesure que nous les estimons terminées afin de recueillir vos remarques et pouvoir éliminer les derniers défauts.
La seconde partie du petit déjeuner a été occupée par un brainstorming sur les questions suivantes :
- Qu’est-ce qui vous permettrait de vraiment gagner du temps ?
- Quelle a été votre plus grosse galère ?
- Comment créer des échanges de compétences au sein de la communauté de Freelancer ?
Il en ressort plusieurs pistes de réflexion que nous allons creuser pour pouvoir simplifier la gestion de votre activité.
Si vous voulez continuer à répondre à ses 3 questions, n'hésitez pas à nous écrire : brainstorming@freelancer-app.fr
Nous planifions déjà le prochain rendez-vous… un apéro cette fois-ci, dans un autre espace de coworking que nous apprécions.
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